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Atelier des Lumières

Atelier
des Lumières

Un lieu d’Histoire

La fonderie du Chemin-Vert fut créée en 1835 par les frères Plichon, Jacques François Alexandre et Hilaire Pierre, pour répondre aux besoins de la marine et du chemin de fer pour des pièces en fonte de grande qualité. La fonderie fut redécouverte par Bruno Monnier, président de Culturespaces, qui a l'idée de créer à Paris un centre d'art numérique. Après d'importants travaux, l'Atelier des Lumières ouvre ses portes au public.

1835 - La Fonderie du Chemin-Vert

1835

La fonderie du Chemin-Vert

La fonderie du Chemin-Vert est créée en 1835 par les frères Plichon, Jacques François Alexandre et Hilaire Pierre. Lors de la Révolution Industrielle les deux frères, issus d’une famille de laboureurs, deviennent fondeurs.

1835 - La Fonderie du Chemin-Vert
Fonderie de fer du Chemin Vert en 1891
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À 46 ans, Jacques François Alexandre crée la fonderie du Chemin-Vert avec son frère pour répondre aux besoins de la marine et du chemin de fer pour des pièces en fonte de grande qualité.

Effectifs 1891 de la Fonderie Plichon
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L’usine occupe alors un terrain de 3 126 m2 et emploie 60 personnes. Elle produisait des moulages de toutes pièces en fonte de fer sur plans et sur modèles jusqu’à 10 000 kg. Les pièces fabriquées étaient ensuite utilisées pour la marine de guerre, les locomotives, les moteurs à explosion et à diesel.

1859 - Le succès de la fonderie

1859

Le succès de la fonderie

Le 21 février 1859, Jacques François Alexandre transmet la fonderie à ses deux fils Jean et Edouard. Ils s’associent sous la raison sociale Plichon Frères.

1859 - Le succès de la fonderie
Papeterie à l’en-tête d’Edouard Plichon
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Papeterie à l’en-tête d’Edouard Plichon
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Edouard Plichon est un technicien reconnu par ses pairs. Il préside la Chambre syndicale des mécaniciens, chaudronniers et fondeurs, puis est fait chevalier de la légion d’honneur. En 1882, il ouvre une succursale, l’aciérie de Grenelle dans le 15e arrondissement.

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Quatre générations de Plichon se succèdent dans la fonderie et pendant une centaine d’années, l’affaire est prospère.

1929 - La fermeture de la fonderie

1929

La fermeture de la fonderie

En 1929, la crise internationale précipite la fin de l’affaire, déjà très concurrencée par la soudure, la forge et les premières matières plastiques.

1929 - La fermeture de la fonderie
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En 1935, la société est dissoute et le terrain et les immeubles sont vendus à la famille Martin, les actuels propriétaires.

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Pendant 65 ans, la fonderie abrite une entreprise spécialisée dans la fabrication et la vente de machines-outils. La grande halle sert d’espace d’exposition pour ces dernières. En 2000, l’entreprise déménage.

2013 - Redécouverte de la fonderie

2013

Redécouverte de la fonderie

Bruno Monnier, Président de Culturespaces, découvre l’ancienne fonderie inoccupée et a l’idée de créer à Paris un centre d’art numérique. La famille Martin, séduite par ce projet, accepte de lui louer la grande halle et ses annexes.

2013 - Redécouverte de la fonderie

Le rôle d’un centre d’art est de décloisonner, et c’est pourquoi le numérique doit prendre sa place dans les expositions du XXIe siècle. Mis au service de la création, il devient un formidable vecteur de diffusion, capable de créer des passerelles entre les époques, de faire vibrer les pratiques artistiques entre elles, d’amplifier les émotions, de toucher le plus grand nombre.

Bruno Monnier, Président de Culturespaces

2018 - Ouverture de l’Atelier des Lumières

2018

Ouverture de l'Atelier des Lumières

Après d’importants travaux (toiture, isolation…), l’Atelier des Lumières ouvre ses portes au public le 13 avril. La première année, 1,2 million de visiteurs découvrent l’Atelier des Lumières. 

2018 - Ouverture de l’Atelier des Lumières
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2018 et après

2018 et après

Les grandes expositions

Chaque année, Culturespaces organise une exposition longue, une exposition courte et donne la parole à des artistes dans des créations contemporaines. 

2018 et après

Les 4 expositions de l’année 2018
"Gustav Klimt" et "Hunterwasser, dans les pas de la Sécession viennoise" par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, avec la collaboration musicale de Luco Longobardi, "POETIC_AI" par le collectif Ouchhh et "Colours X Colours" par Thomas Blanchard et Oilhack

2018 et après

Les 3 expositions de l’année 2019
"Van Gogh, la nuit étoilée" par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, avec la collaboration musicale de Luco Longobardi, "Japon Rêvé, Images du monde flottant" par Danny Rose et "Verse" par Thomas Vanz.

2018 et après

Les 5 expositions de l’année 2020
"Monet, Renoir...Chagall. Voyages en Méditerranée" par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, avec la collaboration musicale de Luco Longobardi, "Yves Klein, l'infini bleu" par Cutback, "Journey" par Nohlab et "Moments" par Melt. Programme spécial : "The last sentinels", photographies de Jimmy Nelson

2018 et après

Les 4 expositions de l’année 2021
"Dalí, l’énigme sans fin" par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, "Gaudí, architecte de l’imaginaire" par Cutback et "Everything" par Nohlab. Programme spécial : "Destination Cosmos, l'ultime défi"

2018 et après

Les 3 expositions de l’année 2022
"Cezanne, Lumières de Provence" par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, "Kandinsky, l'Odyssée de l'abstrait" par Virginie Martin et Cutback et "Recoding Entropia" par François Vautier - Da Prod.

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Les 3 expositions de l’année 2023
"Chagall, Paris – New York" par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, "Paul Klee, peindre la musique" par Cutback et "Convergence, Sounds and colors" par François Vautier - Da Prod.